Thursday, April 5, 2012

LES MENSONGES , LES CONTRADICTIONS ET LA FARCE DU SOCIALISME CASTRISTE !

LAS MENTIRAS,LAS CONTRADICCIONES Y LA FARSA DEL SOCIALISMO CASTRISTE.!

       


Des Hotels construit   avec de capitaux  inversionistes étrangers , ils sont partout  à Cuba !

LES MENSONGES , LES CONTRADICTIONS ET LA FARCE DU SOCIALISME CASTRISTE !  
en Frances

par P.Martori

Après autant des années et des espoirs; le peuple cubain a commence à sentir les besoins
des changements . Et ce là à partir de le dèbut des annèes de la décennie  1990 -2000 !   

Plus que jamais; le peuple se rend compte des toutes les ,mensonges et contradictions du régime. Ce régime  même qui a ses débuts avait trompé tout le monde en proclamant que il n'était pas marxiste où socialiste et que nationalisa toutes les entreprises privés autant étrangères que cubaines. Soit disant que la société cubaine, le peuple, devenait  dès lors le "propriétaire ".
Voilà une des  mensonges que peut de temps après tout le monde a pu voir quand ils ont donné le feu vert a des inversionistes étrangers, tous de vrais capitalistes et qu'étaient  obligés a céder a ce même régime "socialiste"
les 51 et  plus
PARTS DES ACTIONS dans chaque nouvelle entreprise en operation a Cuba.

Drôle de socialisme marxiste qui devant  les faits d'une situation
difficile sur le plan économie a eu recours au capitalisme sans aucune honte et moins encore en se detournant de  ses propres "principes socialistes" .

C'était le temps  quand l'Union Soviétique cessait d'exister et avec elle les généreuses sommes de financement et d'aide économique au régime de  Castro. Alors la dictature castriste déclenchait le soit disant " période special " .
De la interdiction aux cubains d' avoir dans leur possession des dollars, euros ou des monnaies fortes  ils sont passé a la ouverture et laisser les cubains le droit d'avoir dans leur poches des divisas ( monnaies fortes). La question se pose,d'abord d'où ils pourraient  obtenir ses divisas ?
 
Or nous tous savons que des centaines de milliers de cubains ont échappé du régime dès le début de cet régime la et que la plupart se sont réfugiés aux États Unis:

Voilà d'où  les divisas viendraient.

Après rénier  autant des  americains et du capitlisme, voir  me^me  les confisquer ses biens a tous les investisseurs, proprietaires, ou entrepreneurs et de avoir faire sortir de Cuba les inversionistes et entrepreneurs americains, canadiens et d'autres  tels les espagnols; les voilà ces mafiosos castristes implorer  quasiment ,leur retour à île .

Chose déjà faites en prémier par les espagnols suivis par les canadiens, allemands etc: en attendand le retour des yankees.... ! Drôle de socialisme !

Là où  on peut  voir la plus  pure démagogie et en plus la contradiction; c'est  quand les vociferants porte paroles du régime ; déclarent  au peuple cubain et au monde , que à Cuba le systè,e socialistene va pas changer et que seulement ils auront des "réformes" dans l'économie . Or quand  ils parlent d'économie de quoi ils parlent ? Ces gens là prennent le monde pour des ignorants et caves .

Alors,  il s'agit de leur capitalisme : Un capitalisme plus que sauvage et dénigrant ,inique, et plus explotateur  que ce-lui des capitalistes du monde libre et Démocratique  puisque les Castros et leur clique en font usage de l'esclavisme pure et simple  quand ils envoyent des  travaillers, des soldats , des agents de Sécurité, des médecins; des ingénieurs; des professeur de athlétisme etc.aux quatre coins du planète en échange d' argent contant et sonnante !

Et cet esclavage là , un esclavage moderne constitue et il est en soit même; la preuve la plus flagrante de la mensonge et de la démagogie du régime que se dit "marxiste ou socialiste", puisqu'ils sont fait reculer plus encore leur "'socialisme'" a un stade social encore le plus rétrograde : ce-lui du esclavisme !

Mais pourquoi  , la dynastie des Castros veulent ils le retour des américains , ceux qu'ils avaient dépouillé; confisqué; et jamais indemnisés ?


Les questions  les plus importantes ici sont  :

Si le régime  avait expulsé et nationalisé en 1960-1  tous les entreprises américaines etc. et cela sans aucune motive réel et sans indemnisations,qu'est ce qu'il cherche maintenant chez ses même victimes de il y a 52 ans ?

Sera cela un retour au capitalisme avec des américains de retour en force ?
Combien des vies,des soufrances, de destruction du pays, des misères , de familles séparées,des cubains exécutées au nom d'une démagogie infâme et assassine tout cela a coûte au peuple cubain ?

Or voilà les terribles contradictions dedans la démagogie castriste, la mensonge démasqué et la dernière farse du régime  que parle de "changements"...des "réformes"...pendant que le peuple crève !
par P.Martori

Wednesday, April 4, 2012

Free Cubans Know Reconciliation

"Vale más un minuto de pie que una vida de rodillas."
    José Martí.

Free Cubans Know Reconciliation


From : CapitolHillCubans.com

 From 1959 to this very day, each generation of Cuban exiles has consistently opened their homes, schools and businesses to the most recent group of arrivals -- irrespective of their previous social status or political beliefs.
 Free Cubans know and understand reconciliation.
But that didn't stop Cuban-American businessman Carlos Saladrigas, delivering remarks in Havana last Friday, from disparaging Cuban exiles as "hysterical" and lecturing that:
"There's no other road than that of reconciliation, respect, inclusion, dialogue, love and peace."
 How about freedom?
Not surprisingly, Saladrigas's remarks raised eyebrows among dissidents on the island, including Ivan Garcia, who was present and later wrote:
"It caught my attention that [Saladrigas] didn't question the hundreds of arrests of dissidents during the German Pope's trip or the beating of the man that spontaneously screamed 'Down with Communism' at the Plaza Antonio Maceo of Santiago de Cuba."

 Meanwhile, another dissident, Miriam Celaya, questioned why Saladrigas presupposes a "collective responsibility" among all Cubans for the crimes of the dictatorship.
 None of this is new.
 The strategy of "reconciliation without freedom" is more than three decades old.
 It was initially contrived by the Castro regime in the 1970's as a way to discredit and divide the Cuban exile community -- its most persistent source of opposition -- while providing the regime with the ultimate guise of legitimacy.
 Back then, the exile proponent was also a Cuban-American businessman, Bernardo Benes.

 "I think, as I've thought since 1971, that Cubans here and there should bury the hate to produce a reconciliation of the Cuban nation," Benes said.
And freedom?
What Saladrigas conveniently overlooks today -- similar to Benes 30 years ago -- is that freedom is a prerequisite for reconciliation.
 Even the 20th century's greatest proponent of national reconciliation, South Africa's Nelson Mandela, stressed:
 "Only free men can negotiate; prisoners cannot enter into contracts."
 So it's no surprise that only self-appointed "leaders" with no constituencies would be insulting enough to propose "reconciliation without freedom." For no self-respecting free man would ever follow.
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Comments hereby by LaDemajagua1868.
When the massive Mariel boat lift and the 1994 summer
rafters exodus,134,000  first and over 40,000  in the later,cuban exilees
handed their assistance, help, donations and even home hospitality  to relatives that arrived in both exodus.
When hurricanes, or cyclons battered over the island, Cuban Exiles  tried very  generously, to send to the cubans on the island hundreds of tons of food, clothing, medicines etc.Yet it was the bloody dictatorship regime which did not allow the help to get directly to the people. In fact 80 % of all the assistance  was controlled and got to the regime's warehouses. Later on...these same donations ended up in the regime's stores or were sent to other  regional countries for sale or  as "Cuban Govmt. "donations"...
 

¿EN QUÉ SE PARECEN SALADRIGAS, LOS CASTRO Y YOANI SÁNCHEZ?



¿EN QUÉ SE PARECEN SALADRIGAS, LOS CASTRO Y YOANI SÁNCHEZ?


(4-3-12-6:00PM)

Por: Liú Santiesteban


Estos personajes tienen más en común de lo que cabría imaginar. Todos se lucran con el discurso político. Todos siembran exageradas expectativas, para luego decepcionar. Todos están en contra del embargo a Cuba. Todos suelen ignorar a la oposición interna, la pisotean de una u otra forma. Queriendo o sin querer, para que luego no digan.
Todos estos cerebros hablan de prosperidad, de inversiones, de dinero, pero sin mencionar el pluripartidismo, ni las elecciones libres. Eso ni pensarlo, mejor poco a poco, sin sangre. Como si la única alternativa a la guerra armada para liberar a la patria, fuera abrir la piernas como putas, a cambio de unos cuantos dólares. Algunos putas de alto standing eso sí, no de chupa chups por un dólar. Estamos hablando de 6 cifras hacia arriba.

El cambio que requiere Cuba se puede dar pacíficamente sí, pero convocando elecciones libres. Esto sería posible si no se tratara de cubanos dictadores y totalitarios. Si no estuviéramos siendo manipulados por cubanos que traicionan el legado de Maceo y de Martí.
Otra cosa que tienen en común estas personas es que no sé si me dan ganas de abrazarlos o de pegarles un tiro en el medio de la frente. Por un lado se da esa conferencia de Saladrigas en La Habana. Un momento histórico si se mira bien. El primer día en que una voz diferente, una voz del exilio, se abre paso en la Cuba reprimida por los Castro.
Sin embargo, al mismo tiempo, horas antes, ese clan maquiavélico que destroza mi país detuvo a más de 200 opositores para que no pudieran asistir a las Misas del Papa Benedicto XVI.

Y yo me pregunto, y muchos: ¿Qué tienen Carlos Saladrigas y Yoani Sánchez de diferentes con respecto a esos opositores reprimidos? ¿Por qué se les permite a ellos hacer uso de derechos negados a la mayoría de los cubanos?
Según Iván García, la entrada fue libre el día de la conferencia. Pero allí no estaban Oscar Elías Biscet ni Oswaldo Payá ni Martha Beatriz Roque. ¿Por qué?
¿Por qué no puedo yo celebrar ese primer gran paso hacia la democracia que pudo haber sido esa conferencia si su ponente habría tenido la decencia de permanecer fiel a sus principios?
Si el ponente no hubiera faltado el respeto a sus propios padres, que quiso tildar de históricos, pero que al final son también histéricos. Porque esa histeria, señor Saladrigas, la produce el dolor profundo de la represión, la decepción, los amigos muertos, los parques perdidos. Y si yo, que no formo parte del exilio histórico, sino del “hombre nuevo traidor” lo puedo comprender; ¿cómo es posible que usted que lloró solo en un banco, siendo un niño, alejado de sus padres por culpa de los Castro, no lo quiera comprender?

El señor Saladrigas está en todo su derecho de perdonar a los Castro para sustituir a Chávez. Más no tiene ningún derecho a representar a los cubanos que vivimos fuera de Cuba, porque nadie lo ha elegido. Lo increíble es que le permitan hacer esta especie de campaña en el mismísimo corazón de La Habana. Y conociendo a los hermanos de atrás, me pregunto: ¿A cambio de qué señor Saladrigas?
En cuanto a Yoani, hace rato que vengo callando, porque la intención es unir. Pero hay cosas que no puedo tragarme. Como su selectividad a la hora de twittear o escribir, sobre este o aquel opositor. O que reporte un disparo donde hubo una piedra, con foto incluida, porque estaba en el lugar de los hechos antes casi que la policía. Que diga unos días atrás que tenía una aplicación automática para seguir 200 cuentas diarias en Twitter porque es una mentira. Si fuera así, ese programa, automáticamente habría seguido mi cuenta cuando yo comencé a seguirla y eso nunca ocurrió. Era mejor que contara que Ernesto Hernández Busto o quien sea que tiene la contraseña de su cuenta en Twitter, fue quien siguió de forma frenética a tanta gente, para conseguir más seguidores, algo que por cierto recomiendo a quienes quieran aumentar su influencia en esa red social, pues he comprobado que hay mucha gente que te hace follow back.

Lo que tienen en común estas personas, en mi opinión, es que a veces construyen con las manos, pero siempre destruyen con los pies. Hacen más daño que bien a nuestra patria y solo están interesados en su propia prosperidad. El país y el pueblo y sobre todo los opositores, les importan una mierda.
Por un lado tendríamos que sentirnos orgullosos de los Castro, que han abierto un espacio de libertad; pero por otro habría que aplicarles el ojo por ojo mafioso, por matar inocentes, por encarcelar opositores, por elegir muy bien qué voces tienen derecho y cuáles no los tienen.

Por un lado tendríamos que estar agradecidos de Saladrigas, que ha dado el primer discurso alternativo en la Habana; pero por otro habría que condenarlo, no solo por ignorar a la oposición, y pactar a sus espaldas algún jugoso trato económico con los diablos, sino por insultar, encima, a un buen número de cubanos que merece respeto. En democracia eso es así y si él fuera tan tolerante como predica ser, jamás habría utilizado la frase exilio histérico; o al menos habría mencionado claramente al desgobierno histérico cubano.

Por un lado tendríamos que vitorear a Yoani Sánchez, por tantos premios mundiales que han puesto nuestra causa en los titulares del mundo, pero por otro siempre habrá que recodarle que hay gente que necesita la repercusión que ella puede darle. Gente de la que se olvida. Gente importante que está arriesgando todo lo que ella salva en su casa, por la libertad de todos nosotros.
Cuba necesita debates, pero no sólo de economía, sino también política. No solo con “conversos” como Saladrigas, sino también con “histéricos” históricos que merecen respeto y con algún comunista o fidelista, que se atreva a contestar con repeticiones aprendidas a las ideas originales, a los argumentos del dolor y la pobreza, a los derechos que nos violan, por mucho que repitan como loros que Cuba es el país más democrático, que todos tenemos los mismo derechos, porque no es así, aunque salgan los once millones de cubanos a aplaudir, desde el Cabo de San Antonio hasta la Punta de Maisí.
Eso es otro punto que tienen en común Carlos Saladrigas, el Clan de los Castro y Yoani Sánchez: Ellos tienen DERECHOS que ningún otro cubano tiene. O mejor, la dictadura les deja ejercer esos derechos sin ir a la cárcel, ni ser apaleados y mucho menos asesinados.
¿Será por el dinero?


Monday, April 2, 2012

Del Bofeton de Don Lonjendio al abrazo del Papa...

Este articulo esta tambien publicado en :

http://CUBASIKASTRONO.blogspot.com

Del Bofeton de Don Lonjendio al abrazo del Papa
.

por P.Martori

Don Juan Pablo Lojendio e Irure, embajador de España en La Habana, 1960, irrumpió en la  CMQ, televisión cubana, para cantarle las cuarenta al Primer Mentiroso de Cuba y Comendiante en Jefe del Ejército, Fidel Castro, a quien en plena entrevista y en directo para todo el pueblo cubano, le llama mentiroso y le lanza una bofetada.


Del Bofeton de Don Lonjendio al abrazo del Papa.
por Pedro Martori
Por aquellos,los primeros meses de la seudo revolucion,mas exactamente en 1960 en que el maximo demagogo Fidel Castro lanzaba sus diatribas o verborreas de varias horas y acusando al Clero Catolico Cubano de conspirar y ayudar a la contra-revolucion y por lo cual habia dado un plazo de 72 horas a todos los curas y monjas para que abandonaran el pais, que se presenta este hecho historico, pero olvidado por muchos ,incluso los historiadores.
El caso  fue que mientras el maximo traidor a Cuba se despachaba insultando a las monjas y curas, que en su mayoria eran de origen español, se atrevio a insultar tambien a España y fue entonces que se presenta en la estacion de TV CMQ el embajador Plenipotenciario de España, Don Lonjendio para pedirle cuentas a Fidel Castro por  tantos insultos y calumnias . Resultando que en el calor de la discusion el embajador Don Lonjendio le espeta un bofeton a Fidel.
Una bofetada que resono en toda la isla  y gran parte del mundo, pues en esos dias el maximo mentiroso que traiciono a nuestro pueblo desde siempre tenia enormes simpatias  en todas partes. Ninguno sospechaba de lo que el futuro le deparaba al pueblo cubano bajo esta bestia sedienta de venganza y sangre cubana.
La expulsion de todos los misioneros catolicos extranjeros y monjas de Cuba fue de  un impacto tremendamente negativo para la Iglesia como institucion. Los pocos parracos cubanos, que quedaron haciendo frente a la situacion y dando servicios religiosos bajo las continuas humillaciones, vejaciones, insultos y amenazas que le siguio al Exodo de los curas y monjas , tuvieron  sobre sus  hombros una tarea casi imposible. A las hostilizaciones y la intimidacion ,el regimen, le añadio el adoctrinamiento ,casi forzado ,del ateismo dentro del cuadro del adoctrinamiento marxista=stalinista. El resultado fue que poco a poco las iglesias se fueron quedando vacias, ya muchas de ellas habian sido cerradas por el regimen.
Todo esto que ,es Historia comtemporanea de Cuba, viene al caso por la visita papal y a luz de los eventos que han tenido lugar  en esa Cuba convertida en un verdadero gulag miserable y hambriento por la dictadura castrista.
Mientras en los dias del Caso del Embajador  Don Lonjendio el tirano recibia  su racion de insultos , bien merecidos, y una bofetada fisica. Ahora recibia al mismo representante de Dios en la Tierra. Y aunque el abrazo fisico no se dio, el simbolico si y fue ahora el mismo pueblo cubano el que recibia el bofeton sin mano de parte de usa institucion que es la Iglesia Catolica Cubana.
Cuanta poca memoria las del pueblo, y de tantos eclesiasticos !
Ya se sabe, muchos No recuerdan, otros lo ignoran por falta de informacion y los otros , mas interesados en ver crecer de nuevo la Iglesia Catolica en Cuba, se hacen los suecos o chivos locos.
Solo  nos queda una esperanza, y es que dentro de esa misma Iglesia hay otros prelados, que mantienen su digna posicion de apoyo al pueblo a los creyentes, a sus feligreses. 
Son aquellos que no han tenido miedo a expresar las realidades crueles,cruentas y miserables dentro las cuales una banda de malhechores y su satanico ex maximo dictador han hundido o sumido al pueblo cubano.
Y que a diario  emplazan a la nueva elite desgobernante a traves de sus sermones y acciones humanitarias.


Pero, mientras hay esperanzas, hay vida. Y por esto, muy a pesar de las circunstancias dificiles, de la mafiosa represion, de las condiciones de explotacion inicua y sin piedad, de las condiciones de vida , de los sin techos, de los millares y mas millares de presos politicos y comunes que sufren las mas terribles condiciones carcelarias,  de los millones de exilados o expatriados, nuestro pueblo sabra buscar el camino hacia la Libertad y la Democracia que hace mas de un siglo fue aplastada, conculcada y reprimida por la anti cubana dictadura castrista y mafiosa.
La prueba mas contundente la tuvimos, los cubanos y el mundo entero, cuando un solo hombre con el coraje de millones, se levanto a gritar : El pueblo cubano no es libre ! Y se vio, se ve y recorre el mundo en los youtubes, que....Donde muchos hombres no tienen el decoro de defender la Libertad, siempre hay uno o unos pocos que tienen el decoro de muchos hombres ! ( frase lapidaria de Jose Marti )

 Ese bravo entre los bravos dio UN GRITO  QUE EQUIVALDRIA A : LIBERTAD PARA EL PUEBLO CUBANO !


Por ese gesto virl y heroico, los que llevamos mas de medio siglo y hasta mas de 60 años ,en lucha contra las dictaduras, le rendimos honor y nuestra solidaridad total a este cubano heroico por su gesto de valentia.


Pedro Martori

Sunday, April 1, 2012

ETERNA CUBA Enrique Chía.

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=vwK8c-5jIjo

ESTE YOUTUBE FUE TOMADO EN EL

BLOG DE LA ESCRITORA ZOÉ VALDÉS.

Eterna Cuba. Enrique Chía.

diciembre 28, 2010
Un regalo de Reinerio Ramírez Pereira.



EL FONDO MUSICA NOS DA UNA MUESTRA DE LA VARIEDAD, RIQUEZA Y ABUNDANCIA DE LA MUSICA CUBANA  Y AFRO-CUBANA.

NUESTRA MUSICA ES  DE LAS POCAS QUE LE HAN DADO LA VUELTA AL PLANETA
CIENTOS DE VECES , LLEVADA POR NUESTROS ARTISTAS EN SUS GIRAS O POR LA DIFUSION QUE SE HICIERA EN ERAS ANTERIORES CUANDO CUBA ERA LIBRE DE LA REPRESION QUE VIVE DESDE 1959. LOS NORTEAMERICANOS LAS LLEVARON A SU  PAIS Y LA INTERNACIONALIZARONEN SUS PELICULAS DONDE EL FONDO MUSICAL
FUERA COMPATIBLE O REQUERIDO.

EL EXILIO RECALCITRANTE E/O INTRANSIGENTE.

EL EXILIO RECALCITRANTE E/O INTRANSIGENTE.
 Por Tito Rodríguez Oltmans

Al parecer con el transcurso del tiempo los personeros intelectualoides
de la izquierda están utilizando algunos nuevos calificativos en contra
del “Exilio Histórico” DECENTE Y PATRIOTA. Estos sujetos, que se creen
que saben mucho de Filosofía, Sicología y Literatura entre muchas de las
materias que han aprendido en Universidades y Academias Marxistas,
Progresistas o Liberales, no tienen la capacidad de reconocer por  sus
aberraciones condicionadas al mal, los conceptos de Libertad y Decencia.

Sus pensamientos están limitados por su envidia crónica y complejos

inherentes, que se les formaron en la mórula y la blástula durante
el proceso conceptivo de su génesis, (entiéndase en las primeras
fases de la creación del feto).

Ellos llaman al "EXILIO HISTORICO", "RECALCITRANTE Y/O INTRANSIGENTE".

Y para aclarar bien los conceptos, razones y sentimientos del “Exilio Histórico”;
 les informamos, que los cubanos “EXILADOS POR IDEOLOGIA”, trabajamos,
 luchamos, y combatimos en contra de “LA TIRANIA CASTRO COMUNISTA”,
 y DEL COMUNISMO INTERNACIONAL”, por ser esta una doctrina antihumana
 e intrínsecamente perversa, Doctrina que cuando toma el Poder, se mantiene en
 El, mediante el control absoluto de todo, usando constantemente métodos
criminales de extrema violencia en contra de todo lo que conlleve oposición
y/o combatividad del pueblo para poder lograr una verdadera Libertad,
sacándolos del Poder.
POR TANTO: Los cubanos para poder obtener una República Soberana,
Libre, Pluripartidista y Jurídicamente Legal con una Ley Fundamental Legalmente
lograda mediante una Asamblea Constituyente, tenemos que trabajar, luchar
y combatir, en todos los medios, por todos los medios, con todos los medios,
y en contra todos los medios que obstaculicen el camino para poder obtener
esa Nueva República de Cuba.
Y dirigiéndonos directamente  a todos estos sujetos, hijo de la envida,
y maestros de la maldad, sabemos que cuando el MININT desde La Habana
les ordena algo, en el acto, comienzan a funcionar en el exilio, algunos como
marionetas, y otros como cajas de resonancia del Régimen. Estos sujetos
obedecen a La Tiranía porque siempre,  han vivido de rodillas ante El Tirano
y a sus Capos Feudales’, por eso, tenemos que preguntarles en sencillo lenguaje
“cubano-criollo”.
¿Ustedes {los ñangaras o ex ñagaragas), creen que el cubano que quiere
La Libertad, La Soberanía, El Orden Jurídico, La Justicia Social y el Respeto
a Los derechos Ciudadanos y Humanos para una Nueva Cuba, es “Recalcitrante”,
o, “Intransigente”?
Ustedes los ex comunistas, los ex castristas y todos los ex exceses del Regimen.
 Que nunca supieron ser persona, ni conocieron el verdadero amor Patrio,
la decencia, la lealtad y la honestidad, nos llaman “Recalcitrantes e
 “Intransigentes”, por ser cubanos patriotas, y honestos.
Si por tener estas honorables cualidades, así nos llaman; entonces queremos
que enseguida nos pongan la lista de “Intransigentes” por ser “Recalcitrantes
por la Libertad de Cuba”.
·Lista en la cual solo hay cubanos morales y decentes.
·Lista de cubanos que honramos a nuestros ideales de Libertad y Justicia.
·Lista de cubanos que honramos a Nuestros Mártires.
·Lista de “cubanos dignos”.
Y para ustedes, los ex comunistas, ex mayimbes, y desertores
arrepentidos, todos, absolutamente todos han sido y son "
"traidores a Los Postulados Patrios. Por tanto solo tienen nuestro
más profundo desprecio por ser como son, intrínsecamente perversos.
A todos estos sujeto miembros vitalicios de la chusmocracia servilista
y envidiosa Castro-Comunista le queremos recordar la consigna
cuando ustedes o sus progenitores gritaban (algunos berreaban)
a voz en cuello en 1959: …
..“Si Fidel es comunista, que me pongan en la Lista”….
A la cual le respondemos:
”Que si en ella te inscribiste por ser perverso medular, envidioso,
resentido y comunista, prepárate, que a esa “Lista” el pueblo
la va liquidar, de manera permanente y Justiciera por tanto daño causar.
Y piensa siempre que “El Basurero de La Historia” te está esperando
ansiosamente.
"Vale más un minuto de pie que una vida de rodillas."
José Martí.


Exilio – Marzo 21 del 2012. T.R.O.

LO QUE EL PAPA VIO EN CUBA


LO QUE EL PAPA VIO EN CUBA


Carlos Alberto Montaner


Cientos de millones de personas vieron al papa en Cuba, oyeron sus discursos y contemplaron lo que allí sucedió. Cada uno de esos testigos, como es natural, percibió la visita de manera diferente. Ahora lo interesante es saber cuál fue la percepción del papa y de su entorno. Esto es lo que he podido averiguar por medio de fuentes eclesiásticas, entre otras, que desean mantenerse en total anonimato. Alguna de esas fuentes estuvieron muy cerca del Santo Padre.


Primero. A Benedicto XVI le sorprendió el inmenso contraste entre el recibimiento mexicano --alegre, libre, multitudinario y espontáneo--, en medio de una ciudad viva y económicamente vibrante, y las crispadas ceremonias cubanas, evidentemente controladas por la policía política, celebradas en un país empobrecido hasta la miseria, precedidas por centenares de detenciones. El espectáculo horrendo de un joven salvajemente golpeado por un policía disfrazado de camillero de la Cruz Roja le tocó el corazón al papa y se interesó personalmente por su destino. Al fin y al cabo, el pobre hombre sólo había gritado “abajo el comunismo”, versión popular de lo que él mismo había dicho al salir de Italia cuando declaró que el marxismo era una ideología fracasada a la que había que enterrar.


Segundo. Al papa y a su séquito les pareció lamentable que Raúl Castro pronunciara en Santiago de Cuba el clásico discurso estalinista de guerra fría con que intentaba justificar la dictadura. Esperaban un mensaje de cambio y de esperanza, no de reiteración de las líneas maestras del régimen. Ese texto, junto a los discursos que pronunciaron el canciller Bruno Rodríguez y el vicepresidente a cargo del sector económico, Marino Alberto Murillo, los convencieron de que Raúl Castro está mucho más interesado en mantenerse anclado en el pasado que en preparar un futuro mejor para los cubanos.


Tercero. Comprobaron, con dolor, que la petición del anterior papa, Juan Pablo II, durante su visita de hace 14 años, encaminada a que los cubanos perdieran el miedo, había sido inútil. Salvo unos cuantos centenares de demócratas de la oposición, permanentemente acosados y golpeados, y a veces encarcelados, ésa es una sociedad podrida por el miedo. Pero la manifestación de miedo que más les intrigó no fue la de los opositores, sino la de los aparentes partidarios. Conocieron muy de cerca el doble lenguaje y eso los aterró. Cuando hablaban a solas con los funcionarios, estos se manifestaban abiertos, tolerantes y deseosos de reformas profundas que abarcaran el terreno político. Uno, en privado, hasta llegó a admitir que eran necesarios el multipartidismo y las elecciones libres para que la sociedad realmente avanzara hacia la modernidad, aunque los comunistas perdieran el poder. Pero, tan pronto se sumaba otra persona a la conversación, o aparecían los periodistas, retomaban el discurso ortodoxo más inflexible y estalinista, repitiendo el guión oficial sin excluir una sola coma. Era un espectáculo muy penoso.     


Cuarto. El papa y su comitiva confirmaron lo que ya intuían: la Iglesia cubana está escindida en dos líneas clarísimas: la del cardenal Jaime Ortega, contemporizador hasta el extremo colaboracionista de pedirle a la fuerza pública que desalojara un templo ocupado por unos feligreses que deseaban protestar contra la dictadura, a sabiendas de que serían detenidos y seguramente maltratados, y la de obispos como Dionisio García, quien fue ingeniero antes de ordenarse como sacerdote, mucho más firme en su rechazo al régimen cubano. Mientras Jaime Ortega se queda en el ámbito de la compasión por algunas víctimas del gobierno (evidentemente no de todas), Dionisio (aun cuando sigue siendo amigo del Cardenal) y otros sacerdotes, como el famoso cura José Conrado Rodríguez, párroco en una iglesia de Santiago de Cuba, están convencidos de que no habrá alivio ni reconciliación entre los cubanos hasta que ese régimen no sea pacíficamente sustituido por una verdadera democracia que tome en cuenta las opiniones de toda la sociedad y no solamente la de un puñado de ultracomunistas enredados en las telarañas del pasado.


Quinto. El papa comprobó que su contemporáneo Fidel Castro –tienen la misma edad—está en peores condiciones físicas y mentales que él. Encontró a un ancianito físicamente desvalido, mentalmente errático y con graves dificultades para comunicarse. Está liquidado. El papa, que es un hombre bueno, oró por él. Ésa es la costumbre cristiana.

Saturday, March 31, 2012

Japan Warning Over North Korean Rocket


http://www.washingtontimes.com/multimedia/collection/video-all/?vid=4N_TMWOFLpM&vit=Japan%20Warning%20Over%20North%20Korean%20Rocket



Japan Warning Over North Korean Rocket

 
http://www.washingtontimes.com/multimedia/collection/video-all/?vid=4N_TMWOFLpM&vit=Japan%20Warning%20Over%20North%20Korean%20Rocket


COMMENTS BY SOME PEOPLE...:

Sick North Korean leadership, and behind that is Russia and China. North Korea is only a tool of Russia and China. North Korea endangers Japan, South Korea, because these Nations are an economic danger to Russia and China. China, Russia, THEY are on the driver seat. North Korea is only a tool of them.
That is a phoney and sick game of Russia and China. North Korea would be nothing without the assistance of Russia and China. North Koreas lKim-leadership would be dead without China and Russia.

http://www.washingtontimes.com/multimedia/collection/video-all/?vid=4N_TMWOFLpM&vit=Japan%20Warning%20Over%20North%20Korean%20Rocket

EDITORIAL FROM THE WASHINGTON TIMES. The housing market's nonrecovery

 

 EDITORIAL FROM THE WASHINGTON TIMES. 


 

EDITORIAL: The housing market's non recovery

Freddie Mac issued a report Wednesday claiming the housing market may be emerging from a long slump. The government-backed mortgage giant happily cited the National Association of Home Builders/Wells Fargo confidence index, which is up for the fifth month in a row. The home builders forecast increased home sales for the coming year, based on an expectation of higher economic growth. Unfortunately for Freddie Mac, the real data provide little reason for such optimism.

MURRAY: War on coal escalates

Faced with rising gas prices, President Obama recently outlined what he calls an "all-of-the-above" energy policy "that develops every available source of American energy - oil, gas, wind, solar, nuclear, biofuels and more." You may notice something missing there - coal, America's most abundant and affordable fuel source. The administration's "all of the above" strategy is anything but.

ZUBRIN: Obama shoots down Mars exploration

In its budget submitted to Congress Feb. 13, the Obama administration zeroed out funding for NASA's future Mars exploration missions. The Mars Science Lab Curiosity is en route to the red planet, and the nearly completed small Maven orbiter, scheduled for launch in 2013, will be sent, but that's it. No funding has been provided for the Mars probes planned as joint missions with the Europeans for 2016 and 2018, and nothing after that is funded, either. This poses a crisis for the American space program.

KNIGHT: Overplaying the hate card

If Oscars were awarded for liberal hysteria, California's Rep. Barbara Lee would be a perennial contender. On Tuesday, at a congressional forum on the shooting death of Florida teen Trayvon Martin, Ms. Lee proclaimed that it was the result of "a toxic and deadly mix."

MILLER: America's high tax leadership

The United States is now, officially, the worst place to do business in the developed world. On Sunday, Japan lowered its corporate tax rate in the hopes of luring business to its shores, handing the title of highest tax rate to the Land of the Free. The market reaction on Monday will tell whether money will begin flowing away from us and toward the more business-friendly Asian country.

EDITORIAL: Obama's lotto ticket

White House Press Secretary Jay Carney told reporters Thursday that President Obama wasn't going to buy a lottery ticket. That's a shame. By Friday, the multi-state Mega Millions jackpot had reached $640 million. The biggest spender in the history of the world could have had a fair shot at the world's biggest cash prize by matching the six numbers drawn.

EDITORIAL: The housing market's nonrecovery

Freddie Mac issued a report Wednesday claiming the housing market may be emerging from a long slump. The government-backed mortgage giant happily cited the National Association of Home Builders/Wells Fargo confidence index, which is up for the fifth month in a row. The home builders forecast increased home sales for the coming year, based on an expectation of higher economic growth. Unfortunately for Freddie Mac, the real data provide little reason for such optimism.

DONATELLI: Ryan and Walker lead the way

Leadership is a word much used but in short supply in the political world today. Politicians forever talk about it but seldom seek to solve big problems by advocating real solutions and then working to find a consensus that can move the country forward. Fortunately, there are at least two public officials who hail from Wisconsin, the Badger State, one in Washington and one in Madison, who are working diligently to turn America away from the fiscal cliff toward which we are headed.

GOLDBERG: 'Conservative' interpretations of Obamacare

Supreme Court Justice Ruth Bader Ginsburg likes the Indian Healthcare Improvement Act and other ingredients of the Patient Protection and Affordable Care Act, aka Obamacare. Why, she asked toward the end of three days of hearings, shouldn't the court keep the good stuff in Obamacare and just dump the unconstitutional bits?

MURDOCK: Growth option for payroll-tax-holiday funds?

The temporary payroll-tax holiday that Americans are enjoying now looks like a full-time component of the U.S. economy. So it might as well be put to better use. Congress should let payroll-tax-cut recipients place some or all of this money in voluntary personal retirement accounts.

PATTERSON: Obama kills coal - as promised

"If someone wants to build a new coal-fired power plant they can, but it will bankrupt them because they will be charged a huge sum for all the greenhouse gas that's being emitted."

LAMBRO: No one's buying Biden's Brooklyn Bridge

Vice President Joseph R. Biden has begun attacking former Gov. Mitt Romney's credentials on the economy - the issue for which President Obama gets his worst marks in his job-disapproval polls.

NAPOLITANO: Can government force you to eat broccoli?

This week, the Supreme Court measured Obamacare to see whether it fits within the confines of the Constitution. The big picture is whether the Constitution limits the behavior of the federal government to the plain meaning and historical context of the Constitution, or whether clever lawyers and politicians can interpret language in the Constitution so as to justify whatever Congress wishes to do.
Other Recent Articles

Juicio final sobre la visita del Papa



 Juicio final sobre la visita del Papa

FINAL COMMENTS ON THE POPE'S VISIT TO
GULAG CUBA.

Sat, Mar 31, 2012 at 1:50 PM, Pedro <lademajagua1868@gmail.com> wrote:

Publicado por


                 "Juicio final sobre la visita del Papa"


 
BENEDICTO XVI a CUBA     Por PEPE FORTE/

 
Editor de i-Friedegg.com,
y conductor del programa radial semanal AUTOMANIA, y de EL ATICO, diario, por WQBA 1140 AM, en Miami, Florida, una emisora de Univisión Radio.
 
Posted on March 30/2012
¿De qué sirve que el Papa vaya a Cuba comunista?

Sea éste, o el otro, o el que viene… Pues de nada. Benedicto XVI acaba de dejar La Isla tras una visita papal que no ocurría desde 1998, cuando su antológico antecesor, Juan Pablo II lo hiciera. A todas luces se trata de dos Sumos Pontífices de distinta especie, a pesar de que cuando el humo blanco de la chimenea del Vaticano anunció su elección el 19 de abril del 2005 al morir Karol Wojtyla, de Joseph Ratzinger se dijo en la ocasión que era su mejor intérprete y mano derecha. Ahora, no lo parece. Benedicto XVI es más pastoral que Juan Pablo II y, por lo menos en el caso de Cuba —y de su periplo por La Isla— lo fue, y su proyección política resultó más velada y conciliatoria. Nunca expresó Benedicto XVI en su breve estancia de apenas 72 horas allá una frase ni medianamente contestataria como la lapidaria “No tengan miedo” de Juan Pablo II. Lo más fuerte que dijo este Papa antes de llegar al país fue —no es textual— que el marxismo ya no tenía cabida en el mundo de hoy. Con todo respeto, Su Santidad, ya no no, nunca. Pero, bueno… En la homilía de Santiago de Cuba, donde anteriormente cual que envalentonado por el ala alentadora de Juan Pablo II el Arzobispo de la ciudad Pedro Meurice expresara las frases más frontales contra la dictadura, Benedicto XVI dejó caer una cosa aquí y otra allá. Y en la de La Habana también, y finalmente en su discurso de despedida en el Aeropuerto Internacional José Martí de Rancho Boyeros, a punto de abordar el Boeing 777 de Alitalia de regreso a Roma... ídem. Pero aún leyendo entre líneas y hallando así alguna sentencia que pudiésemos perfilar como crítica o de reclamo al castrismo, el Papa fue ambiguo. Eso, de palabra, porque de hechos fue más diáfano: ignoró a las Damas de Blanco, pero recibió a Fidel Castro y su parentela aunque tenganos que admitir que fue el tirano a la montaña y no la montaña al tirano (esperamos que además de haber bendecido a una familia que no merece el perdón de Dios, Benedicto, como en un rain check, le haya administrado por anticipado en carácter de inminente la Extrema Unción al moribundo mequetrefe en que el otrora vibrante Comandante en Jefe ha quedado reducido ahora). Cuba es la excepción a la regla en las exigencias de la Iglesia a una dictadura, por demás atea. Ni siquiera el rebelde Juan Pablo II transgredió las fronteras de la diplomacia vaticana a pesar de las descorteses palabras recriminatorias a la entidad que Castro leyó en su dicurso de bienvenida. Las sacudidas que JPII propinó en plena plena pista del aeropuerto de Managua al sandinista Ernesto Cardenal cual se reprende a un chiquillo malcriado en su visita a Nicaragua a principios de los años 80, no la recibió ni verbalmente del Santo Padre recientemente investido, nadie del establishment castrista, que lo merecía por su sistemático acoso a sus fieles. Sin embargo, estos dos papas son meridianamente enfáticos a la hora de increpar el embargo contra Cuba y para pedir avenidas hacia ella. Con Cuba comunista, el Vaticano continúa con su tradicional política de paños tibios y de poner la otra mejilla con tal de sostener su precaria presencia allí a lo largo de todo este medio siglo de castrismo, aunque hoy esa presencia es más fuerte que nunca. La Iglesia ha resistido con la resignación de mártir del Cristo en la cruz todos los escarnios posibles con que la Revolución Cubana la ha ofendido, comenzando con la forzada estampida de los sacerdortes cubanos en el vapor Covadonga a principios de ella, promovida personalmente por el propio Castro hasta, si no la persecusión franca y abierta a la fe —que alguna vez lo fue así— sí su estigmatización. Inteligente, con la sabiduaría de 2000 años, la Iglesia ha sorteado escollos para prevalecer en su afán de no perder terreno en Cuba. Por eso mira hacia el lado, simula y disimula, calla y otorga, e ignora y finge. Pero sí ha perdido territorio, no importa cuánto se haya afanado en que no. En el año 2012, como parte de un fenómeno galopante que arrancó tímidamente más o menos en los años 70 y que ya desde los 80 era un asunto desencadenado, la religión afrocubana y otros cultos rituales han desplazado a la Iglesia para una proporción ahora de 80 a 20 (20 el catolicismo). Como cuando Colón llegó a Cuba, Cuba necesita ser re-evangelizada 520 años después. Por mucho que la política oficial se esfuerce en demostrar que el animismo afrocubano representa no sólo el más genuino tronco cultural de la nación, sino el primordial —más allá de Lidia Cabrera y su monumental obra al respecto, “El Monte”— la pura verdad es que antes de1959 la citada proporción corría en sentido inverso. La popularidad de las prácticas yorubas en Cuba es directamente proporcional al grado de desesperación y desesperanza de la ciudadanía del país, que encuentra en un babalao y en su consulta de barrio y no en un cura y en su capilla, más que consuelo, respuestas tangibles a su agónica lista de quiméricos anhelos: irse del país; no caer preso por actividad política o económica —ambas ilícitas—; que le pongan en libertad, o que le deje en paz su jefe, el Comité de Vigilancia, el Jefe de Sector de la Polícia, o la Seguridad del Estado. Favorece al hecho, el hecho de que no al sacerdote episcopal, pero sí al sincrético se le puede pedir que le haga o le mande “un trabajo” para su protección, que a menudo más que atemperarla, es una franca solicitud de retribuir con el mal a la amenaza que le atribula. No se puede decir que a pesar de que las parroquias en Cuba han languidecido durante el último medio siglo, el cubano no siga creyendo en Cristo y en la Iglesia Católica, papal, apostólica y romana. Pero la fe es una cosa, y la militancia otra. Y aunque recientemente se ha producido un revival en la población, camina más gente por la otra acera… Esta visita del Papa sólo ha servido, de nuevo, para que el Vaticano pueda hincar su báculo y defender su pálida huella en suelo cubano como una certificación de que todavía está allí. Apuesta más la Santa Sede por el santuario que por los feligreses. Por eso y para eso nombró al tenue Cardenal que tiene Cuba hoy y que, pusilánime, juega el juego de cabeza de la Iglesia en allí, mojándose los brazos a veces, pero sin llegar al codo. Incluso desde la visita de Juan Pablo II, ninguno de los pocos pedidos de éste al gobierno comunista cubano han sido canalizados —¡y ya han pasado 14 años!—, excepto la escuálida observancia del Día de Navidad —no de las Navidades en su conjunto— en 1998, más de tres décadas después que las Pascuas fueran censuradas por Castro desde 1965. Ni siquiera la simple hora evangélica semanal en los medios que él rogó le fue concedida. Un papa como Juan Pablo II, cuya repugnancia por el marxismo era manifiesta y que tuvo un papel clave en la liberación de su natal Polonia y en la caída del comunismo, ante Castro fue genuflexo. Y… ¿valdría la pena que Juan Pablo II o Benedicto XVI se manifestaran explícitamente contra Castro y su Revolución, allí, en su propia caverna? Creemos con tristeza que no, que… ¿para qué?, porque esta frase de cierre que viene a continuación y que deseamos que analices palabra por palabra, refleja una triste realidad:
 
EL EXILIO CUBANO DE MIAMI SUEÑA CON QUE EL PAPA GRITE EN CUBA LO QUE LOS CUBANOS DE LA ISLA DEBERÍAN GRITAR Y NO GRITAN; PERO AÚN SI EL PAPA LO GRITARA… ELLOS SE QUEDARÍAN CALLADOS. Comente este artículo en: info@ifriedegg.com

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